(Journal du 12.X.2024 bis) Fait étrange, cette après-midi, j’ai reçu dix exemplaires du Testament d’Attis. Il se dégageait du carton une très forte odeur de parfum, de la même qualité que celui que diffusent ces petites choses que certains automobilistes suspendent aux rétroviseurs intérieurs de leurs voitures. La couverture, les pages semblent avoir été parfumées. Est-ce parce que la personne qui a fait l’emballage cocotait atrocement le parfum bon marché, ou bien s’agit-il de quelque nouveauté d’imprimeurs, de très mauvais goût (et senteur) ? J’en ai la gorge qui pique. Je me demande si des lecteurs ne pourraient pas faire une réaction allergique à mon livre. Par chance, de lecteurs il n’y a pas !
12.X.2024
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